首页 | 本学科首页   官方微博 | 高级检索  
相似文献
 共查询到20条相似文献,搜索用时 15 毫秒
1.
Résumé Une solution générale du problème de la répartition de densité à l'intérieur de l'ellipso?de équipotential est appliquée à quelques modèles spéciaux.
A general solution of the problem of density distribution for the equipotential ellipsoid is applied to obtain some special models.

Zusammenfassung Eine allgemeine L?sung des Problems der Massenverteilung für das Niveauellipsoid wird auf einige spezielle Modelle angewendet.
  相似文献   

2.
The present study deals with the inner mechanism of the method of least squares, and thus constitutes an extension of previous work, [2] and [3]. It covers an investigation as to whether there are corresponding relationships between the results of partial adjustments on the one hand, and a total adjustment of the same data on the other, as expressed by the theorem ofJacobi. It is shown that such relationships do, in fact, exist: the results of a total adjustment are identical (or proportional) to the weighted means based on the corresponding values found by the partial adjustments, with the determinants of the latter’s systems of normal equations as weights. This applies to the quantities determined by the adjustment and their accuracy, as well as to their internal correlation and the sum of squares of the residuals.
Zusammenfassung Der vorliegende Aufsatz besch?ftigt sich mit dem Mechanismus der Methode der kleinsten Quadrate and stellt somit eine Weiterführung der früheren Arbeiten [2] und [3] dar. Diesmal Wird untersucht, ob entsprechende Zusammenh?nge, welche durch den Satz vonJacobi zum Ausdruck kommen, zwischen den Ergebnissen von Teilausgleichungen einerseits und der Gesamtausgleichung desselben Beobachtungsmateriales andererseits, bestehen. Es wird nachgewiesen, dass dies tats?chlich der Fall ist: Die Ergebnisse der Gesamtausgleichung sind identisch mit (oder proportional zu) den gewogenen Mitteln der korrespondierenden Werte der Teilausgleichungen, wobei als Gewichte die Determinanten der Normalgleichunssysteme der letzteren auftreten. Dies trifft sowohl für die Werte der durch die Ausgleichung zu bestimmenden Gr?ssen, für die Genauigkeit und der internen Korrelation derselben, als auch für die Fehlerquadratsumme zu.

Résumé Le présent article traite du mécanisme interne de la méthode des moindres carrés et constitue donc une suite aux travaux précédents [2] et [3]. Les recherches portèrent cette fois-ci sur l’existence de relations correspondantes entre les résultats des compensations partielles (compensations ne comprenant qu’une partie des observations), d’une part, et une compensation totale de la même série d’observations, d’autre part, comme elle est exprimée par le théorème deJacobi. Il est démontré ici que de telles relations existent effectivement. Le résultat d’une compensation totale est identique (ou proportionnel) aux moyennes arithmétiques générales fondées sur des valeurs correspondantes résultant des compensations partielles et des déterminants des équations normales de ces dernières comme poids. Ceci est valable aussi bien pour la grandeur des quantités qui sont déterminées lors de la compensation que pour la précision et la corrélation interne de ces mêmes quantités, ainsi que pour la somme des corrections quadratiques.
  相似文献   

3.
H. Wolf 《Journal of Geodesy》1952,26(4):445-452
Zusammenfassung Die jüngsten Arbeiten von Prof.Jenne (Potsdam) über die unbestimmte Aufl?sung der Normalgleichungen für Winkelbedingungen und eine von Dr.Dupuy 1948 aufgeworfene Frage geben Anla\ zu einer Gegenüberstellung der verschiedenen Verfahren zur Aufl?sung von Normalgleichungen, insbes. des Gau\schen Algorithmus und des Boltzschen Entwicklungsverfahrens. Im Hinblick auf den beachtlichen Vorsprung im Aufl?sungsproze?, den die Mitbenützung der fertig ausgerechneten Korrelatentabellen für die Dreieckswinkelgleichungen gew?hren, kommt man zu dem Schlu?, da? es weniger der Gegensatz als vielmehr die geschickte Verbindung der beiden vorgenannten Verfahren ist, welche eine besondere Beachtung und Würdigung verdient.
Summary The most recent work of ProfessorJenne (of Potsdam) on the algebraical solution of normal angle condition equations, and on a question raised in 1948 by DrDupuy, gives us the opportunity of comparing various methods for the solution of normal equations, in particular the Gaussian algorithm and Boltz’s development method. Having taken account of the valuable saving introduced, in the methods of solution, by the use of tables of correlatives, calculated from the angle equations, one arrives at the conclusion that there is some value in giving detailed consideration to the judicious combination of the two methods mentioned above—rather than drawing attention to their differences.

Resumen Los trabajos más recientes del ProfesorJenne (de Potsdam) sobre la resolución indeterminada de las ecuaciones normales de condición para los ángulos así como una cuestión planteada en 1948 por el Dr.Dupuy, nos proporcionan la ocasión de comparar los diversos métodos de resolución de las ecuaciones normales, en particular el algoritmo deGauss y el método de desarrollo deBoltz. Teniendo en cuenta el progreso notable llevado al proceso de resolución, por el empleo de los correlativos, calculados del todo con las ecuaciones de ángulos, se llega a la conclusión que conviene prestar una atención y una consideración particulares a la feliz combinación de los dos métodos antes mencionados, mucho más que a la oposición de los mismos.

Résumé Les travaux les plus récents du ProfesseurJenne (de Potsdam) sur larésolution indéterminée des équations normales de condition aux angles et une question soulevée en 1948 par le DrDupuy nous donnent l’occasion de comparer les diverses méthodes de résolution des équations normales, en particulier l’algorithme deGauss et la méthode de développement deBoltz. Compte tenu du progrès notable apporté, dans le processus de résolution, par l’emploi des corrélatifs tout calculés des équations aux angles, on arrive à la conclusion qu’il convient d’accorder une attention et une considération particulières à l’adroite combinaison des deux méthodes ci-dessus mentionnées—beaucoup plus qu’à leur opposition.

Sommario I lavori più recenti del prof.Jenne (di Potsdam) sulla risoluzione indeterminata delle equazioni normali·di condizione agli angoli, ed una questione sollevata dal Dr.Dupuy, ci offrono lo spunto per confrontare i diversi metodi di risoluzione delle equazioni normali, in particolare l’algoritmo diGauss ed il metodo di sviluppo diBoltz. Tenuto conto del notevole progresso apportato, nel procedimento di risoluzione, dall’impiego dei correlativi precalcolati delle equazioni agli angoli, si giunge alla conclusione che conviene rivolgere l’attenzione alla possibilità di accordare, piuttosto che di contrapporre, i due metodi menzionati.
  相似文献   

4.
Résumé Dans une première partie, traitée de fa?on élémentaire, l'auteur, après avoir rappelé diverses solutions particulières, propose deux méthodes pour résoudre le problème de l'optimisation d'un réseau de points de grille sur une sphère, admettant toutes deux une symétrie équatoriale, des points équidistants sur des parallèles régulièrement espacés en latitude, une ligne de points équatoriaux et deux points polaires. Une critique permet de dégager la meilleure de ces deux solutions; cette dernière solution convient, quelque soit le nombre N de points, si N>5, mais conviendra d'autant mieux que N sera plus grand. Une application numérique est donnée pour un réseau de 1.000 points, avec la localisation de ces points sur une carte de l'hémisphère terrestre Nord. Dans une seconde partie, traitée de fa?on plus théorique, l'auteur précise la notion de distance interpoints, montre les limites de validité des solutions précédentes pour finalement proposer une troisième solution, la solution dite “en spirale”, qui lui para?t définitivement la meilleure.  相似文献   

5.
    
Résumé “Le Dr Allessandro Marcantoni, professeur chargé de la Géodésie et de la Topographie à l'Université de Pise, a procédé à l'examen approfondi des intérressantes études de l'Ecole allemande, dues à Boltz, Friederich, Jenne, etc..., relatives aux méthodes de calcul pour la compensation rigoureuse des grands réseaux géodésiques, introduisant largement, à la différence des auteurs cités, l'emploi du calcul moderne par les matrices, dont l'intérêt dans ce type de problèmes avait déjà été signalé par Marcantoni en 1943.? ?L'introduction de ce procédé de calcul a permis à l'auteur d'atteindre, sous forme synthétique, à une grande souplesse dans des recherches analytiques complexes, et de mettre en lumière la vraie nature de ces procédés—parvenant à des résultats plus généraux et en partie nouveaux.? ?Nous sommes donc bien heureux, en publiant ce travail, de donner à nos lecteurs les dernières acquisitions du progrès sur cette question.? ?Per la compensazione rigorosa delle grandi reti geodetiche?, série d'articles parus au ?Bolletino Geodetico? de l'Institut Géographique Militaire de Florence en 1944 et 1945.  相似文献   

6.
Summary After a numerical comparison of geoidal surfaces, the author finds confirmed the values of the deflection of the vertical at Potsdam, as given by ProfessorLedersteger. These values should, however, not be considered as definitive before the value determined by means of the profile of the gravimetrically obtained geoid, will be in sufficient agreement with the amount computed by means of theVening Meinesz-Integral. According to the present state, a discrepancy in the north-south direction of more than 2″ seems to exist between both. Definitive statements might not be possible before the supply of the gravity material by means of additional observations.
Zusammenfassung Die von Professor Dr.Ledersteger ermittetten Werte für die Lotabweichung in Potsdam findet der Verfasser auf Grund einer numerischen Vergleichung von Geoidfl?chen best?tigt. Jedoch dürften die Werte der Lotabweichungskomponenten für Potsdam erst dann als endgültig anzusehen sein, wenn der aus dem Profil des gravimetrisch ermittellen Geoides bestimmte Wert mit dem nach dem Integral vonVening Meinesz berechneten Betrag hinreichend übereinstimmt. Nach dem augenblicklichen Stand scheint zwischen beiden in Nordsüdrichtung noch eine Differenz von über 2′ zu bestehen. Endgültige Aussagen wird man erst nach Vervollst?ndigung des Schwerematerials durch neue Beobachtungen treffen k?nnen.

Resumen Según una comparación numérica de superficies sobre el geoide, confirma el autor los valores de la desviación de la vertical en Potsdam, dados por el professorLedersteger. Dichos valores no pueden, sin embargo, ser considerados como definitivos sino después de su comparación con los datos gravimétricos que parecen dar una discordancia del órden de 2″ para la componente Norte-Sur.

Résumé D'après une comparaison numérique de surfaces sur le géo?de, l'auteur confirme les valeurs de la déviation de la verticale à Potsdam données par le ProfesseurLedersteger. Elles ne pourront toutefois être considérées comme définitives qu'après comparaison avec les dennées gravimétriques qui semblent donner une discordance de l'ordre de 2″ pour la composante Nord-Sud.

Sommario Fondandosi su di un confronto numerico, l'Autore conferma i valori della deviazione della verticalè a Potsdam dati dal prof.Ledersteger. Questi valori si potranno considerare tuttavia come definitivi soltanto dopo confronto con i risultati gravimetrici, che sembrano mostrare una discordanza dell'ordine di 2″ per la componente meridiana.
  相似文献   

7.
    
Résumé La simplicité du calcul de la réduction au plan est une des qualités pratiques les plus importantes dans toute projection géodésique. Comme les calculs sont à l'heure actuelle entièrement effectués en coordonnés rectangulaires, la réduction au plan demande à être calculée exclusivement à partir des dits éléments: telle est bien du reste la situation en ce qui concerne la projection de Mercator Transverse, communément employée. Pour la projection conique conforme deLambert, officiellement employée pour la triangulation fran?aise, on obtient une formule commode en introduisant l'aire triangulaire comprise entre le sommet de la projection conique (image du p?le) et les stations AB à relier. Le présent acticle justifie cette formule, décrit son application par la section de Géodésie de l'Institut Géographique National, et spécifie les formules de moyenne à employer: cette note forme un ensemble avec l'article suivant deM. Dufour.
Summary Simplicity of calculation in the plane is one of the most important characteristics of any surveyor's projection. Since all calculation is today carried out in terms of rectangular coordinates, any reduction to the plane should involve only these coordinates: and this is, in fact, the situation in the commonly employed Transverse Mercator projection. For theLambert Conical orthomorphic projection, officially used for the French triangulation, a convenient formula is obtained in terms of the area of the triangle formed by the two points concerned and the vertex of the projection (which represents the pole in the plane). This paper justifies the use of the formula; describes its application by the Institut Géographique National; and discusses the different mean value formulae which are suited to the various grades of accuracy desired. This paper should be considered together with that ofM. Dufour.

Zusammenfassung In jeder geod?tischen Projektion besteht das Haupterfordernis für eine praktische Durchführung darin, da? die Berechnung der Reduktionen auf die Ebene m?glichst einfach sei. Da gegenw?rtig alle Rechnungen mit Hilfe von rechtwinkligen Koordinaten durchgeführt werden, mu? die Reduktion auf die Ebene ausschlie?lich von den genannten Elementen ausgehen. So liegen jedenfalls die Dinge bei der gemeinhin verwendeten Transversalen Mercator-Projektion. Für die Lambertsche konforme Kegelprojektion, die amtliche Projektion für das franz?sische Dreiecksnetz, erh?lt man eine zweckdienliche Formel, wenn man die Dreiecksfl?che zwischen dem Scheitelpunkt der Kegelprojektion (Bildpunkt des Poles) und den zu verbindenden Stationen A B benutzt. Der vorliegende Artikel begründet diese Formel, beschreibt ihre Verwendung durch die Geod?tische Abteilung des Franz?sischen Instituts für Geographie (Section de Géodésie de l'Institut Géographique National) und erl?utert die zu verwendenden Mittelwert-Formeln. Der Aufsatz geh?rt mit dem folgenden vonM. Dufour geschriebenen eng zusammen.

Resumen La sencillez del cálculo de la reducción al plano es una de las condiciones prácticas más importantes en toda proyección geodésica. Como actualmente están efectuados los cálculos en coordenadas rectangulares, la reducción al plano exige ser calculada exclusivamente a partir de dichos elementos; tal es por lo demás la situación en lo que concierne a la proyección deMercator Transverse, comúnmente empleada. Para la proyección cónica conforme deLambert, oficialmente empleada para la triangulación francesa, se obtiene una fórmula cómoda introduciendo el área triangular comprendida entre el vértice de la proyección cónica (imagen del polo) y las estaciones A y B a enlazar. El presente articulo justifica esta fórmula, y describe su aplicación por la Sección de Geodesia del Instituto Geogróafico Nacional.

Sommario La semplicità del calcolo delle riduzioni al piano è una delle qualià pratiche più importanti in ogni proiezione geodetica. Poichè attualmente tutti i calcoli di una triangolazione vengono effettuati sul piano, in coordinate rettangolari, è essenziale che tali riduzioni possano avvenire facendo ricorso ai soli elementi piani; come accade in particolare per la proiezione trasversa di Mercatore. Per la proiezione conica conforme diLambert, usata ufficialmente uella triangolazione francese, si ottiene una formula comoda per la riduzione alla corda introducendo l'area del triangolo formalo dall' immagine del polo, e dai due punti da collegare. L'articolo giustifica questa formula, ne descrive la sua applicazione da parte della Sezione Geodetica dell' Istituto Geografico Nazionale, e precisa le formule da impiegare. Esso è collegato con l'articolo seguente del sig.Dufour, col quale forma un tutto unico.
  相似文献   

8.
    
Résumé Par une étude détaillée des travaux de gravimétrie les plus récents, l’auteur montre que, malgré les progrès réalisés dans la construction et l’emploi des gravimètres, les mesures pendulaires restent le procédé de base pour leur étalonnage. Ceci impose que l’emploi du pendule s’accompagne d’une étude poussée des erreurs systématiques et de soins minutieux dans les déterminations;—certaines conditions générales sont également nécessaires pour la réalisation d’un réseau mondial homogène.
Zusammenfassung In einer ins einzelne gehenden Untersuchung der neuesten gravimetrischen Arbeiten zeigt der Autor, da?, trotz des erzielten Fortschritts in der Konstruktion und im Gebrauch der Gravimeter, die Pendelmessungen das Grundverfahren für ihre Eichung bleiben. Das bedingt aber, da? die Anwendung des Pendels mit einer fortgesetzten Untersuchung der systematischen Fehler und peinlicher Sorgfalt bei den Bestimmungen verbunden wird;—gewisse allgemeine Bedingungen sind gleichfalls notwendig zur Verwirklichung eines homogenen Welt-Netzes.

Resumen Basándose en un estudio detallado de los más recientes trabajos gravimétricos, muestra el autor como a pesar de los progresos realizados en la construcción y empleo de los gravímetros, las medidas dependen siempre de su calibración. Esto exige que el empleo de los péndulos vaya siempre acompa?ado de un estudio de sus errores sistemáticos y de los cuidados más minuciosos en las experiencias. Son además necesarias otras condiciones penerales para la realización de una red mundial homogénea.

Sommario Fondandosi su di uno studio detta gliato dei più recenti lavori di gravimetria, l’Autore mostra come, malgrado i progressi realizzati nella costruzione e nell’impiego dei gravimetri, le misure restino sempre alla base per la loro campionatura. Ciò richiede che l’impiego dei pendoli si accompagni ad uno studio profondo degli errori sistematici et a cure minuziose nelle determinazioni. alcune condizioni generali sono pio necessarie per la realizzazione di una rete mondiale omogenea.
  相似文献   

9.
Résumé Une des techniques de détermination fine et globale du champ de gravitation terrestre U est la gradiométrie spatiale, dans laquelle on mesure à bord d'un satellite sur orbite basse certaines combinations linéaires des composantes du tenseur ∂2 U/∂xi ∂xj dans des axes {x i } liés au satellite. Un tel projet, appelé GRADIO, est actuellement à l'étude en France et pourrait aboutir à partir de 1990. Après avoir rappelé les objectifs scientifiques d'une telle mission, nous en donnons les spécifications—étayées par une série d'études analytiques; nous définissons ensuite le satellite porteur et ses caractères techniques, en insistant sur les points délicats de la faisabilité (facteurs d'échelle des micro-accéléromètres constituant l'appareil, connaissance de l'attitude...) et en présentant des idées de solution en cours d'approfondissement.
Summary Satellite gradiometry arises as one of the methods for improving our knowledge of the global Earth gravity field at high resolution: by means of micro-accelerometers on board a low orbiting spacecraft, linear combination of the gravity tensor components ∂2 U/∂xi ∂xj are measured in a satellite-fixed reference frame {x i }. Based on this technique, a project named GRADIO is presently under study in France and could fly in 1990 at the earliest. After the scientific objectives of that experiment have been reviewed, the measurement specifications are given as coming from various analytical studies. The platform and its characteristics are then defined: the critical realization problems (scale factors of the micro-accelerometers, spacecraft attitude control and restitution) are pointed out together with some ideas for their solution which are under analysis and require further study.
  相似文献   

10.
Résumé Complément à une note de l’auteur parue sous le même titre dans le Bulletin Géodésique d’octobre 1946 (Nouvelle série, no 2).
The doubly equidistant projection
  相似文献   

11.
Summary The range of computation in normal calculators can be extended to functions by providing an usual machine both with a storage unit containing approximate values of functions for arguments in rough steps and factors of interpolation and a device for transferring the values from the storage unit into the calculator proper. Then values of function for any argument may be computed by direct or inverse interpolation from the values stored. Accuracy depends on the number and distribution of the stored values. If usual trigonometric functions are concerned, five-place sometimes even six-place accuracy may be obtained by storing no more than 100 values of function and 100 factors of interpolation. Such a degree of accuracy is sufficient for almost any computation in geodetic operations of lower order, including third-order triangulation. At the Geodetic Institute of the Stuttgart Technische Hochschule a try-out model was developed, with wich the functions sinx, cosx, lanx, cotanx and their inverse functions as well as sec tanx (secant of tangent) and can be computed. As basic machine a hand calculator with Odhner wheels was used. Experiments with the hand try-out calculator showed that the amount of computing erros is only half of that committed in the usual computations by the customary calculators and printed tables of functions. In addition, gain of time was reached in most computations, which amounts to 50 percent in certain problems. Tests also made it clear that the operation of the function calculator even in the actual state of the try-out machine is very simple and can easily be learnt so that also untrained people may operate it. It may be noted that the majority of the persons used in the testing the try-out machine were willing to repeat the computations if so required, by means of the function calculator, but not so with the function tables. Therefore the function calculator appears well suited not only to simplify geodetic computation considerably but also to make it more efficient.
Zusammenfassung Der Rechenbereich normaler Rechenmaschinen kann dadurch auf Funktionen erweitert werden, dass die Maschine mit einem Speicherwerk, das gen?herte Funktionswerte für grob abgestufte Argumente und Interpolationsfaktoren enth?lt, und einer Einrichtung zur Uebertragung der Werte aus dem Speicherwerk in die Rechenmaschine versehen wird. Die Funktionswerte für beliebige Argumente k?nnen dann durch direkte oder inverse Interpolation aus den gespeicherten Werten berechnet werden. Die Genauigkeit ist abh?ngig von der Anzahl und Verteilung der gespeicherten Grundwerte. Bei den gebr?uchlichen trigonometrichen Funktionen l?sst sich bereits durch Speicherung von nur 100 Funktionswerten und 100 Interpolationsfaktoren eine fünf-teilweise sogar bis sechsstellige Genauigkeit erreichen. Diese Genauigkeit ist für alle Berechnungen der niederen Geod?sie einschliesslich der Triangulation III. Ordnung ausreichend. Im Geod?tischen Institut der Technischen Hochschule Stuttgart wurde eine Versuchsmaschine entwickelt, mit welcher die Funktionen sinx, cosx, tgx, ctgx und ihre Umkehrfunktionen sowie sec tgx (Secans aus Tangens) und berechnet werden k?nnen. Als Grund-maschine wurde eine handbetriebene Sprossenradmaschine verwendet. Die Erprobung ergab, dass die Zahl der durch Unaufmerksamkeit des Rechners bedingten Rechenfehler nur noch halb so gross ist wie bei der üblichen Berechnung mit gew?hnlicher Rechenmaschine und gedruckter Funktionstafel. Ausserdem ergab sich bei den meisten Rechnungen ein betr?chtlicher Zeitgewinn, der bei einer Funktionsdoppelrechenmaschine für bestimmte Aufgaben bis zu 50% betr?gt. Die maschinelle Berechnung von Funktionswerten ist bereits in der vorliegenden Form erheblich einfacher als die Entnahme aus Funktionstafeln, so dass auch ungeschulte Kr?fte eingesetzt werden k?nnen. Die Funktionsrechenmaschine ist demnach geeignet, das geod?tische Rechnen wesentlich zu vereinfachen und wirtschaftlicher zu gestalten.

Resumen El campo de cálculo en máquinas de calcular normales puede ser ampliado a functiones, proporcionando a la máquina calculadora una unidad-almacén que contenga valores aproximados de funciones para argumentos groseramente escalonados y factores de interpolación, así como un dispositivo para transferir los valores de la unidad-almacén a la calculadora. Entonces pueden ser calculados valores de función para cualquier argumento, por interpolación directa o inversa de los valores almacenados. La precisión depende del número y distribución de los valores almacenados. Cuando se trata de funciones trigonométricas usuales, puede lograrse una precisión del órden de la quinta cifra y en ocasiones de la sexta cifra, con solo el almaceneje de 100 valores de función y de 100 factores de interpolación. Tal grado de precisión es suficiente para cuaquier cálculo en operaciones geodésicas de órden inferior, incluyendo la triangulación de 3er órden. En el Instituto Geodésico de la ?Technischen Hochschule Stuttgart? fué desarrollado una máquina de ensayo, con la que pueden ser calculadas las funciones sen ϕ, cos ϕ, tang ϕ, cotang ϕ y sus funciones inversas, así como sectang ϕ (secante de tangente) y . Como máquina básica fué empleada una calculadora a mano con ruedas Odhner. Las experiencias realizadas con esta calculadora demostraron que el número de errores de cálculo es solo la mitad de los cometidos en los cálculos corrientes mediante las máquinas de calcular usuales y tablas impresas de funciones. Además, se consiguió una ganancia de tiempo en la mayoria de los cálculos, que llegó a alcanzar el 50 por ciento en ciertos problemas. El cálculo mecánico de valores de funciones es notablemente más sencillo en la forma actual que el manejo de tablas de funciones y puede ser fácilmente aprendido y llevado a cabo por personas sin práctica. La máquina de calcular funciones es, por lo tanto, adecuada, no solo para simplificar notablemente el cálculo geodésico sino también para hacerlo más eficiente.

Résumé Le domaine d’emploi des machines à calculer normales peut s’étendre à des fonctions quelconques si l’on équipe la machine d’une ?mémoire?, contenant les valeurs approchées de la fonction pour des valeurs largement échelonnées de l’argument et des facteurs d’interpolation, et d’un dispositif permettant de reporter ces valeurs de la ?mémoire? dans la machine. Les valeurs de la fonction pour des arguments quelconques peuvent être calculées par interpolation directe ou inverse à partir des valeurs enregistrées. La précision dépend du nombre et de la répartition de ces valeurs enregistrées. Pour les fonctions trigonométriques usuelles, avec 100 valeurs de la fonction et 100 facteurs d’interpolation, on arrive déjà à la précision de la cinquième ou même de la sixième décimale. Cette précision suffit pour tous les calculs de la géodésie courante, y compris la triangulation de 3e ordre. A l’Institut Géodésique de l’Ecole Supérieure Technique de Stuttgart, on a établi une machine expérimentale, qui permet de calculer les fonctions sinx, cosx, tgx, ctgx, et les fonctions inverses ainsi que sec tgx (sécante à partir de la tangente) et . Comme machine on a utilisé une machine à main du type roue à dents saillantes. L’expérience a montré que le nombre des erreurs de calcul d?es à l’inattention du calculateur n’était que la moitié de celui constaté dans le calcul usuel avec une machine normale et les tables des fonctions. On a obtenu en outre, pour la plupart des calculs, un gain de temps apréciable, atteignant 50% pour certains problèmes, avec une machine double. Le calcul à la machine des fonctions est, dès maintenant, sous cette forme, sensiblement plus simple que l’interpolation à partir des tables, si bien que l’on peut y employer du personnel peu confirmé. La machine à calculer les fonctions permet donc de simplifier notablement les calculs géodésiques et de les rendre plus économiques.

Sommario Le possibilità di una normale macchina calcolatrice sono suscettibili di venire estese al calcolo delle funzioni, abbinando alla macchina un’unità-magazzino contenente i valori approssimati di funzioni per opportuni intervalli, unitamente ai coefficienti per l’interpolazione, e ad un congegno per transportare i valori stessi dal magazzino alla macchina calcolatrice vera e propria. I valori della funzione per un argomento qualunque possono allora venir calcolati per interpolazione. La precisione dipende dal numero e dalla distribuzione dei valori immagazzinati. Se si tratta di funzioni trigonometriche, si può raggiungere una precisione di cinque cifre od anche di sei cifre immagazzinando non più di 100 valori della funzione e 100 coefficienti per l’interpolazione. Tale precisione è sufficiente per la maggior parte dei calcoli topografici, inclusa la triangolazione di terzo ordine. All’Istituto Geodetico del Politecnico di Stoccarda è stato costruito un modello siffatto, con il quale è possibile il calcolo dei valori delle funzioni sinx, cosx, tgx, ctgx e funzioni inverse, come pure di sec tgx (secante della tangente). La macchina calcolatrice originaria è una Odhner. Experienze effettuate con questo modello a mano hanno mostrato che gli errori di calcolo sono solo la metà di quelli commessi nelle ordinarie operazioni a mano eseguite da un calcolatore mediante tavole delle funzioni a stampa. Di più, il risparmio di tempo è risultato, in alcuni casi, del 50%. Prove effettuate hanno dimostrato inoltre che l’impiego della macchina cosi modificata risulta molto semplice, e che questo è alla portata anche di personale non specialmente istruito.
  相似文献   

12.
Zusammenfassung Bei der Ausgleichung des Südwest-Blockes und des Nordblockes der europ?ischen Triangulation war es nicht m?glich, die Bowie-Methode anzuwenden, weil die Grundlinien und die Laplaceschen Punkte sich im allgemeinen nicht in den Knotennetzen zwischen Meridianund Parallelkreisketten befinden. Mit Rücksicht hierauf gibt es in dem Schema nur einige wenige Netzteile, die zun?chst für sich ausgeglichen werden konnten; in der Hauptsache mu\te fast der ganze Block in einem Gu? ausgeglichen werden. Die Ausgleichung des südwesteurop?ischen Blockes erfolgte nach der Methode der bedingten Beobachtungen; die Gleichungen der verschiedenen Art wurden durch die Mathematiker des Coast and Geodetic Survey aufgestellt und sofort auf Lochkarten der International Business Machines (IB.M.) übertragen, soda? alle Berechnungen mit Hilfe der I.B.M.-Maschinen rein mechanisch durchgeführt werden konnten. Die Aufl?sung der 2348 Normalgleichungen des süwesteurop?ischen Blocks erfolgte nach der Methode von Doolittle. Die Rechnungen erfolgten auf 6 Dezimalstellen. Die Ausgleichung des Südwest-Blocks erforderte fast 18 Monate Arbeit. Die Ausgleichung des nordeurop?ischen Blocks wurde im Gegensatz hierzu nach vermittelnden Beobachtungen durchgeführt, wobei die vorhandenen Basis- und Laplacebedingungen besonders berücksichtigt werden mu?ten. Sie umfa?t auch den D?nisch-Norwegischen Anschlu?, der mit Hilfe der Hochzieltriangulation hergestellt wurde. Die bereits verliegende Ausgleichung des baltischen Ringes hat die Arbeit weitgebend erleirchtert. Der nordeurop?ische Block ergab ein System von 2475 Normalgleichungen, die in der sehr kurzen Zeit von 3 Monaten gel?st wurden, wobei an den Maschinen sechs Tage pro Woche und t?glich jeweils 16 Stunden gearbeitet wurde. Die Durchführung der Arbeit hat gezeigt, da? die Aufl?sung gro?er Normalgleichungssysteme keine besonderen Schwierigkeiten mehr bereitet, und da? es kaum vorteilhaft ist, in den schw?cheren Teilen des Netzes Ketten auszuscheiden. Dieser Fall trifft in Italien zu. Weiterhin zeigt die Arbeit 1) da? es wohl angebracht w?re, in einigen Teilen des Netzes die Beobachtungen zu wiederholen, 2) da? die astronomischen Fundamental-Meridiane verschiedener L?nder, auf die sich die L?ngen beziehen, oft nur ungenügend übereinstimmen.
Resumen En la compensación europea no fué posible adoptar el método deBowie, dado que las bases geodésicas y los puntos deLaplace no se encuentran en general en los cruces entre las cadenas meridianas y paralelas; por esta razón no hay en el esquema sino algunas raras figuras compensadas de antemano; todo el resto de la red está compensada en un solo bloque. La compensación del bloque de la Europa Sud-Oeste ha sido efectuada por el método de observaciones condicionadas; las ecuaciones de los diferentes tipos fueron escritas por los matemáticos del Coast and Geodetic Survey, y llevadas inmediatamente a cartas perforadas de la “International Business Machines” (I.B.M.); a partir de ese momento, todo el cálculo se prosiguió por via mecánica con la intervención de las máquinas I.B.M. El método empleado para la resolución de los sistemas normales, cuyo número de ecuaciones para ese bloque era de 2348, es el de Doolittle, empleando inicialmente 6 cifras decimales; el cálculo de ese bloque exigió aproximadamente 18 meses de trabajo. La compensación del bloque de la Europa Norte ha sido efectuado. al contrario, por el método de variación de coordenadas, teniendo tam bién en cuenta el enlace geodésico entre Noruega y Dinamarca, efectuado por el método de los cohetes. La compensación que ya existía del anillo báltico ha facilitado mucho la tarea. El método empleado en el cálculo ha sido el de las observaciones indirectas condicionadas, siendo regidas las condiciones por la concordancia de las bases existentes y de los azimutes de Laplace. El bloque de la Europa Norte ha conducido a un sistema de 2475 ecuaciones que han sido resueltas en el tiempo extremadamente corto de 3 meses, trabajando las máquinas 6 dias por semana, durante 16 horas por dia. La experiencia adquirida durante la ejecución del trabajo, ha demostrado que no hay dificultad alguna para resolver grandes sistemas de ecuaciones simultáneas, y que, por tanto, no representa gran ventaja extraer cadenas en las partes más delicadas de la red. Es el caso que se ha presentado en Italia. Sin embargo, se infiere del trabajo efectuado, que sería conveniente volver a observar la red en algunas zonas, y que con frecuencia no hay concordancia suficiente entre los meridianos astronómicos fundamentales de los diferentes paises, en los que se apoyan las determinaciones de longitud.

Résumé Il ne fut pas possible, dans la compensation européenne, d’adopter la méthode deBowie, étant donné que les bases géodésiques et les points deLaplace ne se trouvent en général pas aux croisements entre cha?nes méridiennes et parallèles; il n’y a dans le schéma que quelques rares figures rigides compensées à l’avance; tout le reste du réseau étant compensé en un seul bloc. La compensation du bloc de l’Europe Sud-Ouest a été effectuée par la méthode des observations conditionnées; les équations des différents types étaient écrites par les calculateurs duCoast and Geodetic Survey, et reportées immédiatement sur des cartes perforées de l’International Business Machines (I.B.M.); à partir de ce moment-là, tout le calcul se poursuivit par voie mécanique à l’aide des machines I.B.M. La méthode employée pour la résolution des systèmes normaux, dont le nombre d’équations était pour ce bloc de 2348, est celle de Doolittle, en employant initialement 6 chiffres décimaux; le calcul de ce bloc demanda à peu près 18 mois de travail. La compensation du bloc de l’Europe Nord a été effectuée au contraire par la méthode de variation de coordonnées, tenant compte aussi de la jonction géodésique entre Norvège et Danemark effectuée au moyen de la méthode des fusées. La compensation existante de l’anneau baltique a grandement facilité la tache. La méthode employée dans le calcul a été celle des observations indirectes conditionnées, les conditions étant dues à l’accord des bases existantes et des azimuths laplaciens. Le bloc de l’Europe Nord a conduit sur un système de 2475 équations qui ont été résolues dans le temps très court de 3 mois, en travaillant aux machines six jours par semaine, pendant 16 heures par jour. L’expérience acquise pendant l’exécution du travail a montré qu’il n’y a aucune difficulté à résoudre des grands systèmes d’équations simultanées, et que pourtant il n’y a pas grand avantage d’extraire des cha?nes dans les parties plus délicates du réseau. C’est le cas qui s’est présenté en Italie. Du travail effectué, il ressort encore qu’il serait convenable de réobserver le réseau en quelques zones; et qu’il n’y a pas souvent accord suffisant entre les méridiens astronomiques fondamentaux des différents pays. auxquels s’appuient les déterminations de longitude.

Sommario Nella compensazione europea non fu possibile adottare il metodo diBowie, poichè le basi geodetiche ed i punti diLaplace non si trovano in generale agli incroci fra catene parallele e meridiane; per questa ragione non c’è nella rete che qualche rara figura rigida compensata preventivamente; tutto il resto della rete è stato compensato di un solo getto. La compensazione del blocco dell’Europa Settentrionale è stata effettuata con il metodo delle osservazioni condizionate; le varie equazioni sono state scritte dai matematici delCoast and Geodetic Survey, e trasportate immediatamente su schede perforate della International Business Machines (I.B.M.); da questo momento il calcolo si è svolto meccanicamente mediante le macchine I.B.M. Il metodo impiegato per la risoluzione del sistema normale, il cui numero di equazioni era, per questo blocco, di 2348, è quello detto di Doolittle; si sono impiegate inizialmente 6 cifre decimali, ed il calcolo per tutto il blocco ha richiesto 18 mesi di lavoro circa. La compensazione del blocco dell’Europa Settentrionale è stata invece effettuata con il metodo per variazione di coordinate, tenendo anche conto del collegamento geodetico mediante razzi illuminanti esistente fra la Danimarca e la Norvegia. L’esistente compensazione dell’anello baltico ha grandemente facilitato il compito. Il metodo di calcolo è stato quello delle osservazioni indirette condizionate, le condizioni essendo dovute all’esistenza di basi misurate e degli azimut laplaciani. Il calcolo del blocco dell’Europa Settentrionale ha richiesto la risoluzione di un sistema di 2475 equazioni, che sono state risolte nel tempo brevissimo di 3 mesi, operando le macchine sei giorni per settimana, e durante 16 ore al giorno. L’esperienza acquistata durante l’esecuzione del lavoro, ha mostrato che non c’è alcuna grande difficoltà nel risolvere grandi sistemi di equazioni simultanee, e che pertanto non si realizza un grande vantaggio nell’estrarre catene nelle parti più delicate di una rete continua. E’il caso che si è presentato in Italia. Ancora appare dal lavoro effettuato, che sarebbe opportuno riosservare la rete in qualche parte; e che spesso non c’è sufficiente accordo fra i meridiani astronomici fondamentali dei vari Paesi, ai quali si appoggiano le determinazioni astronomiche.


Communication présentée à l’Assemblée Générale de Bruxelles  相似文献   

13.
Summary TheChandler movement is essentially an oscillation having an assumed period of the order of time of a double revolution of the moon’s nodes. The variation in its period is only apparent and relies upon a sudden change of phase which occurred at the beginning of 1928. If attention is paid to the residuals, a secondary oscillation with an 11-year period can be detected. This explains theWitting perturbations, and is possibly connected with the sun-spot cycle.
Resumen El movimientoChandler es en su esencia un balanceo que tiene una duración admitida del órden de la doble revolución de los nodos de la Luna. La variabilidad de su periodo no es más que simulada, debido a un salto de fase situada en el comienzo del a?o 1928. Utilizando los residuos, se puede demostrar un balanceo suplementario de 11 a?os, que explica lasperturbacionésWitting y que está posiblemente relacionado con el periodo de las manchas solares.

Résumé La période deChandler correspond, dans son essence, à un balancement ayant une durée présumée de l’ordre de la double révolution des nœuds de la Lune. La variabilité de sa période n’est que dissimulée et ceci grace à un saut de phase situé au commencement de l’année 1928. En utilisant les résidus, on peut démontrer un balancement supplémentaire de 11 ans, qui explique les perturbationsWitting, et qui est en liaison possible avec la période des taches solaires.

Sommario Il movimento diChandler è essenzialmente un’oscillazione avente presumibilmente un periodo doppio della rivoluzione dei nodi lunari. La variabilità di questo periodo è soltanto apparente, in consequenza di un salto di fase situato al principio del 1928. Utilizzando i residui, si può mostrare un’oscillazione supplementare del periodo di 11 anni, che spiega la perturbazione diWitting e che sta forse in relazione con il periodo delle macchie solari.


Communication présentée à l’Assemblée Générale de Bruxelles  相似文献   

14.
    
Résumé On prend en considération une méthode de division de la surface terrestre en blocs ayant presque même aire, ainsi que proposé par R.H. Rapp, et on va la modifier de facon à obtenir des blocs avec une surface rigoureusement identique. Ensuite, on étend le calcul de la sphère à l’ellipso?de et on exécute une division en sous-blocs de l’italie.
Summary A method of subdivision of the earth into approximately equal area blocks as proposed by R.H. Rapp is considered. It had been used as basis to obtain true equal area blocks and the calculus are extended from a unit sphere to reference ellipsoid. A subdivision of Italy is also made.
  相似文献   

15.
    
Conclusion Le Président lève la dernière séance en se félicitant de la grande activité déployée en ao?t 1948, lors de l'Assemblée générale d'Oslo, par la Section des Nivellements de l'Association Internationale de Géodésie. Dans de nombreux domaines, l'extrême précision des nivellements modernes, sans cesse accrue et désormais mieux mesurable, se heurte à des phénomènes physique très délicats, et suscite des recherches tendant à les éliminer, ou à les analyser. La technique du nivellement est aujourd'hui en plein essor, et une moisson de résultats nouveaux peut en être attendue dans les années à venir.  相似文献   

16.
Zusammenfassung Nach dem Erdbeden von Nanka?do im Jahre 1946 hat man das Dreiecksnetz I. Ordnung in einem Gebiet von etwa 300 km Umkreis wiederbeobachtet, und zwar auf 47 Punkten insgeasamt 68 Winkel. Die letzte Triangulation fand in den Jahren 1885–96 statt.—Nach der Ausgleichung des Netzes wurden Punkverschiebungen bis zu 1,69 m festgestellt.
Resumen Después del temblor de tierra de 1946, en Nanka?do, se ha vuelto a observar la red de triangulación de 1H orden en un radio de 300 kilómetros aproximadamente. Los puntos de nuevo observados son 47 y los triángulos 68. La triangulaciín precedente se remontaba a los a?os 1885–96. Después de compensar la red, se han deducido los desplazamientos experimentados por los puntos sobre el terreno, que llegaron a ser de 1,69 metros.

Résumé Après le tremblement de tèrre de 1946 à Nankaido, on a réobservé le réseau de triangulation de premier ordre dans un rayon de 300 km environ. Les points réobservés sont au nombre de 47, et les triangles en nombre de 68. La triangtlation précédente remontait aux années 1885–96. La compensation du réseau effectuée, on en a déduit les déplacements subis par les points sur le terrain, qui importent jusqu’à 1,69 m.

Sommario Dopo il terremoto di Nankaido del 1946, è stata riosservata la rete di prim’ordine entro un raggio di circa 300 km. La precedente triangolazione risaliva agli anni 1885–96. Effettuata la compensazione, il confronto fra l’anticae la nuova triangolazione ha rivelato spostamenti nei vertici ammontanti fino a m 1,69.


Communication présentée à l’Assemblée Générale de Bruxelles en 1951  相似文献   

17.
A two-dimensional signal processing algorithm is developed to obtain smoothed estimates of the gravity disturbance vector from vector measurements obtained by an inertial surveying system. The method differs from a conventional least squares regional adjustment of such measurements in that it accommodates a signal model in the smoothing process. Using principles from the physical theory of geodesy, it is shown that for a local region on the surface of the earth, an appropriate signal model is obtained by applying the two-dimensional Laplacian operator to a function representing the surface disturbance potential and equating the result to spatial white noise. The model of the vector measurement is the three orthogonal spatial derivatives of a three dimensional disturbance potential evaluated at the surface contaminated by additive white noise. The problem of simultaneous smoothing of all the gravity disturbance measurements from all survey traverses in the region is solved by representing the surface disturbance potential by a two-dimensional Karhunen-Loeve expansion that makes no specific reference to either the geometry or the ordering of the parameter space, thereby making no assumptions of causality, stationarity or isotropy. The problem of estimating the gravity anomaly and the two vertical deflection components reduces to estimating the Karhunen-Loeve coefficients which are uncorrelated and rapidly converging. Simulation results as well as smoothing of actual gravity disturbance vector measurements obtained by the U.S. Army Engineer Topographic Laboratories (USAETL) with the Rapid Geodetic Survey System (RGSS) at the White Sands Missile Range (WSMR) are presented in the paper. An analysis of these results shows that the optimal two-dimensional smoother obtains a performance benefit relative to conventional regional least squares by a factor of 2 and a benefit relative to single-traverse smoothed results by a factor of 4.
Sommaire Un algorithme de traitement du signal en deux dimensions est développé pour obtenir une estimation lissée du vecteur de la perturbation de la pesanteur à partir des mesures de vecteur obtenues avec un système d’arpentage inertiel. La méthode diffère d’un compensation régionale conventionnelle par moindres carrés de telles mesures, par le fait qu’elle contient un modèle du signal dans le processus de compensation. En s’appuyant sur les principes de la géodésie physique, il est montré que pour une région locale de la surface de la terre, un modèle approprié du signal est obtenu en appliquant l’opérateur à deux dimensions de Laplace à une fonction représentant le champ perturbateur à la surface de la terre et égalisant le résultat à un bruit blanc spatial. Le modèle du vecteur de mesures est défini par les trois dérivées spatiales de la fonction tridimensionnelle du potentiel perturbateur évaluées à la surface et contaminées par un bruit blanc. Le problème du lissage de toutes les mesures de gravité perturbatrice obtenues à partir des polygonales effectuées est résolu en représentant le potentiel perturbateur à la surface à l’aide d’un développement Karhunen-Loeve à deux dimensions qui ne fait aucunement référence à la géométrie ou à l’ordre des paramètres; ceci prévient toute dépendance spatiale des points adjacents. Le problème de l’estimation de l’anomalie de la gravité et des deux composantes de la déviation de la verticale se réduit à celle des coefficients Karhunen-Loeve qui sont non-corrélés et convergent rapidement. Les résultats de simulation aussi bien que le lissage des données du vecteur de perturbation de la pesanteur foumi par l’U.S. Army Engineer Topographics Labs (USAETL) sont présentés. L’analyse de ces résultats montre que le lissage optimal à deux dimensions améliore les résultats par un facteur 2 comparés aux résultats d’une compensation régionale par moindres carrés, et par un facteur 4 comparés aux résultats lissés d’une simple traverse.


Presented at the Second International Symposium on Inertial Technology for Surveying and Geodesy, Banff, Canada, June 1–5, 1981.  相似文献   

18.
    
Conclusion Les travaux de nivellement effectués sur la Gironde ont done permis à l’Institut Géographique National de préciser ses idées sur des méthodes nouvelles. Il a pu constater, en particulier, qu’une méthode qu’il considère comme une méthode expédiée permet actuellement d’exécuter des nivellements qui valent ceux du réseau de 1er ordre, effectués par une méthode beaucoup plus longue et plus compliquée. Ces résultats sont dus pour une part à l’habileté technique des opérateurs. Ils sont dus aussi aussi à la qualité du matériel utilisé. Les perfectionnements apportés dans la construction des instruments. en particulier la précision des réalisations mécaniques actuelles, permet de s’affranchir d’un traditionnalisme devenu sans objet, et d’abandonner des modes opératoires, ingénieux certes et mathématiquement séduisants, qu’on avait imaginés pour pallier l’insuffisance des appareils. Confort dans les observations, économie de peine pour les opérateurs, gain de temps dans les travaux, augmentation de la précision dans les mesures, ce sont là des avantages sérieux qui concourent tous à l’amélioration de la qualité des résultats.   相似文献   

19.
    
Résumé Deux procédés ont été étudiés pour la mesure précise de la période d’oscillation d’un pendule. Le premier utilise un oscillographe cathodique à balayage linéaire contr?lé par une fréquence étalon de 1.000 périodes par seconde. A chaque oscillation le pendule envoie par l’intermédiaire d’une cellule photo-électrique un top très bref à l’oscillographe et ce top se traduit sur ce dernier par l’apparition d’un point lumineux. La période du pendule diffère de une seconde d’une quantité très faible de sorte que les points lumineux apparaissent à des positions voisines sur l’écran de l’oscillographe. Ces points sont photographiés et de leur position on déduit la durée d’un certain nombre d’oscillations. La fréquence étalon pouvant être contr?lée en permanence, la précision de la détermination d’un top est de l’ordre de 10−5 seconde et la précision relative de la mesure d’un intervalle de temps de 100 secondes est supérieure à 10−6. La deuxième méthode constitue un procédé chronométrique de haute précision dont les possibilités d’application sont beaucoup plus étendues. Elle consiste dans l’association d’un moteur synchrone à 100 p?les, ou roue phonique, entra?né par une fréquence étalon de 1.000 périodes par seconde et d’un dispositif d’éclairage instantané permettant de repérer la position de la roue. L’axe de la roue phonique, qui fait 10 tours par seconde, entra?ne un disque divisé sur son pourtour en 100 parties égales; un compte-tour donne le nombre de tous du disque. Une lampe à décharge est déclenchée à chaque phénomène à mesurer et permet d’enregistrer, soit visuellement, soit potographiquement la position de la roue phonique. On peut ainsi apprécier facilement le 1/40.000 de seconde et pour des intervalles de temps de 100 secondes avoir une précision relative supérieure à 10−6. Communication présentée à l’Assemblée générale de la Société Chromatique de France (23 avril 1949). Cette étude a été publiée également dans lesAnnales fran?aises de Chronométrie, t. III, 3e trimestre 1949 (p. 261–268).  相似文献   

20.
Conclusion Les exemples cités dans cet article et étudiés en Tchécoslovaquie montrent que sur la terre entière, se produisent des mouvements de l'écorce terrestre, horizontaux et verticaux, positifs et négatifs. En même temps on peut constater que ce sont les régions de tectonique jeune qui subissent ces mouvements et qu'ils s'y manifestent beaucoup plus intensivement (système slovaco—carpathien) que sur les masses de continent plus stables de l'écorce terrestre (Bohême et Moravie—Massif de Bohême) et que dans les régions séismiquement actives (bassin de Komarno en Slovaquie du Sud) leur direction peut changer. On peut supposer que ces mouvements provoquent certaines tensions dans les roches de l'écorce terrestre. Si une réserve suffisante d'énergie potentielle s'accumule en forme de tensions élastiques, il suffit d'une impulsion insignifiante (par ex. des dérangements aux lieux, fatigués tectoniquement, une altération du milieu minier par l'exploitation, etc..) pour transformer l'énergie potentielle accumulée en énergie cinétique. Ensuite se produisent des pressions des roches, des secousses et des dérangements différents de la structure des roches et par suite des mouvements secondaires. A. PELNAR conclut également que les secousses dans les mines de Pribram en Bohême peuvent être causées par des mouvements verticaux petits, mais bien impétueux des massifs, montagneux, moyennant quoi une énergie considérable se libère par un, écrasement des établissements miniers. Comme les mouvements mentionnés sont fonction du temps, les changements de tension et les déformations dans les roches et leurs conséquences se présentent comme une fonction du temps. L'importance des études de l'écorce terrestre est immense non seulement au point de vue scientifique (géologie, géodésie, géophysique), mais aussi au point de vue pratique (géologie d'ingénieur, industrie minière). L'étude détaillée des mouvements de l'écorce terrestre, de leurs causes, de l'énergétique, de l'action, de la connection et des conséquences de leurs marques permettra de résoudre un nombre de problèmes, parmi les autres même le problème des pressions et des couches montagneuses et aidera à résoudre maintes discussions à cet égard (voir par ex. la discussion entre le savant tchèque A. PELNAR et le spécialiste G. SPACKELLER sur la question de savoir si les secousses à Ostrava sont causées par les dernières manifestations du plissement varisque ou si elles sont provoquées par l'exploitation des mines ou toute autre cause inconnue. Les mouvements du groupe B joueront aussi un r?le important dans la solution de ces problèmes.  相似文献   

设为首页 | 免责声明 | 关于勤云 | 加入收藏

Copyright©北京勤云科技发展有限公司  京ICP备09084417号