Résumé Une méthode de détermination expérimentale du coefficient d'entraînement % MathType!MTEF!2!1!+-% feaafiart1ev1aaatCvAUfeBSjuyZL2yd9gzLbvyNv2CaerbuLwBLn% hiov2DGi1BTfMBaeXatLxBI9gBaerbd9wDYLwzYbItLDharqqtubsr% 4rNCHbGeaGqiVu0Je9sqqrpepC0xbbL8F4rqqrFfpeea0xe9Lq-Jc9% vqaqpepm0xbba9pwe9Q8fs0-yqaqpepae9pg0FirpepeKkFr0xfr-x% fr-xb9adbaqaaeGaciGaaiaabeqaamaabaabaaGcbaGaaeyqaiabg2% da9iabgkHiTiaacIcadaqdaaqaaiabeI7aXjaacEcacaWG3bGaai4j% aaaacaGGPaGaamyAaiabg+caViaacIcadaqdaaqaaiabeI7aXjaacE% cacaWG3bGaai4jaaaacaGGPaWaaSbaaSqaaiaaicdaaeqaaaaa!4646!\{\text{A}} = - (\overline {\theta 'w'} )i/(\overline {\theta 'w'} )_0 \] dans une couche limite planétaire convective est proposée. Cette méthode, qui combine les données enregistrées par un sodar à des mesures météorologiques in situ, s'applique aux cas de convection matinale (couche de mélange assez peu développée surmontée par une inversion de température marquée.) Dans le cas des observations recueillies lors de la campagne de Voves (1977) elle fournit des valeurs de A qui s'écartent parfois de 0.2 ± 0.1 (gamme des valeurs souvent adoptées) et couvrent la totalité de l'intervalle 0-1.La comparaison entre les valeurs de A déterminées par cette méthode et celles prédites à partir des modèles de Stull (1976) et Zeman (1977) conduit à un accord satisfaisant, ce qui confirme le rôle joué par la turbulence mécanique dans le processus d'entraînement durant les premières heures de la convection matinale.