Zusammenfassung Bestimmungen der ganztägigen (S ₁) und halbtägigen (S ₂) Windperioden in 80 bis 100 km Höhe ergeben Amplituden von derselben Größenordnung wie die mittleren Winde. Beide Perioden zeigen starke jahreszeitliche Schwankungen. FürS ₂ wird das Maximum wie an der Erdoberfläche im Winter, das Minimum im Sommer erreicht; aber die jahreszeitliche Änderung ist in der Höhe viel größer. FürS ₁ fällt das Maximum in den Sommer, wie man im Falle einer durch Erwärmung erzeugten Oszillation erwarten würde. Aus den beobachteten Windschwankungen können die entsprechenden Luftdruckschwankungen berechnet werden. Diese betragen 5 Prozent des mittleren Luftdruckes in diesen Höhen, oder besonders fürS ₂ auch mehr, d. h. sie sind 50 bis 100 mal größer als am Erdboden. Eine derartige Zunahme mit der Höhe ist nach der Theorie zu erwarten. Die Phase vonS ₂ zeigt jedoch nicht die erwartete Umkehr im Vergleich zu der Welle am Boden.S ₁ scheint viel regelmäßiger zu sein als am Erdboden, wo es durch lokale Einflüsse sehr gestört ist. Die wenigen Daten für die halbtägige Mondgezeit (L ₂) zeigen ebenfalls eine starke Zunahme mit der Höhe, die Phase ist aber ähnlich wie am Erdboden.

Résumé Les observations des oscillations diurnes (S ₁) et semi-diurnes (S ₂) du vent entre les niveaux de 80 km et 100 km au-dessus du sol indiquent que leurs amplitudes sont du même ordre de grandeur que leurs valuers moyennes. Ces deux périodes sont caractérisées par des changements saisonniers prononcés. PourS ₂ ces changements bien que dans la même direction sont beaucoup plus considérables que ce que les données de surface nous porteratient à croire. PourS ₁ ces changements sont en bon accord avec l'idée d'une cause thermique. Les oscillations de pression peuvent être obtenues à partir des oscillations observées du vent. Les amplitudes d'oscillation de la pression sont de l'ordre de 5 pour cent ou, spécialement dans le cas deS ₂, plus encore des valuers moyennes de la pression. Ceci indique une augmentation de cinquante à cent fois par rapport à la basse atmosphère, fait d'ailleurs suggéré par la théorie. Toutefois la phase deS ₂ ne présente pas d'inversion par rapport au sol.S ₁ paraît beaucoup plus régulier qu'au sol où la situation sest fortement affectée par les influences locales. Les quelques données concernant les oscillations semi-diurnes (L ₂) causées par la lune indiquent une augmentation des amplitudes avec l'altitude.